Tout a commencé dans l'opulence et les paillettes des réseaux sociaux, où le glamour semblait régner en maître. Mais sous cette façade brillante se cachait un monde obscur d'arnaques et de tromperie.
Avant propos : Cet article repose sur des informations issues de la presse en ligne, notamment Wikipédia, Radio France, Public Sénat, 20 Minutes, Libération, Le Monde, Marianne et le Journal du Geek. Il ne contient aucun jugement de valeur et se limite à retranscrire les faits tels que rapportés par ces médias.
Les "influvoleurs", un terme ciselé par le rappeur Booba, ont été propulsés sous les feux des projecteurs, révélant une face sinistre de la culture de l'influence.
Ces personnalités, qui se servent de leur notoriété pour vendre des contrefaçons ou pour tromper leur public avec des investissements frauduleux, sont devenues les nouveaux bandits des temps modernes (🔗).
Le scandale a éclaté au grand jour lorsque, sous l'égide du collectif d’Aide pour les Victimes d’Influenceurs (AVI), une vague de plaintes a déferlé contre des influenceurs français pour "escroquerie en bande organisée". Près de 90 personnes ont ainsi crié au vol, dénonçant les pratiques scandaleuses de ces vedettes du virtuel (🔗).
Parmi les figures les plus controversées, on retrouve Magali Berdah, surnommée la « papesse des influenceurs », qui s'est retrouvée dans le viseur de la justice, accusée par Booba d’être une cheffe de file dans ces méfaits (🔗).
La DGCCRF n'a pas tardé à suivre le mouvement en épinglant quatre créatrices de contenu pour leurs pratiques illégales, signant peut-être le début de la fin de l'impunité dans ce secteur (🔗).
Les pouvoirs publics, alarmés par cette nouvelle forme de criminalité, se sont emparés de la cause. Olivia Grégoire, ministre chargée du Commerce, a promis une riposte législative pour lutter contre ces pratiques, témoignant de la prise de conscience à l'échelle nationale (🔗). Enfin, la première loi encadrant le secteur a été définitivement adoptée, un glaive de justice brandi pour protéger les consommateurs innocents, souvent jeunes et vulnérables, contre les serres acérées de ces prédateurs du digital (🔗).
L'enquête explosive de "Libération" n'a fait qu'intensifier l'indignation populaire, les internautes applaudissant la révélation de ces actes délictueux qui ont longtemps sévi en toute impunité (🔗). Le phénomène des "influ-voleurs" a démontré que même dans l'éclatante sphère des influenceurs, des ombres peuvent se cacher, prêtes à être révélées au grand jour par le flambeau de la vérité et de la justice.
Retrouvez le Complément d'Enquête👉 "Arnaques, fric et politique : le vrai business des influenceurs"
Rédaction ©️ Hello2lu
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